Accueil » Comment vendre ou acheter en viager à Reims ?
Le viager séduit de plus en plus à Reims, aussi bien les seniors souhaitant améliorer leur
retraite que les investisseurs désireux d’acquérir un bien immobilier de manière
progressive. Et pour sécuriser chaque étape, le notaire reste l’allié incontournable.
Le viager est un contrat dans lequel le vendeur (crédirentier) cède son bien à un
acquéreur (débirentier) contre :
Ce mécanisme attire les seniors souhaitant améliorer leur retraite et les acquéreurs
désirant étaler leur investissement. Le vendeur peut conserver un usufruit ou un droit d’usage et d’habitation, ce qui reporte l’accès au bien pour l’acquéreur.
Dans l’ancien, les frais de notaire à Reims varient généralement entre 7,5 % et 8,5 % du prix de vente. Par exemple, l’achat d’un bien de 200 000 € dans les quartiers Courlancy ou Sainte-Anne générera environ 17000 € de frais.
Les logements neufs (moins de 5 ans et jamais habités) bénéficient d’un régime allégé, avec des frais compris entre 2 % et 3 % du prix d’achat. Pour un appartement de 250 000 € dans les communes de Tinqueux ou Cormontreuil, les frais s’élèveront entre 5 000 € et 7 500 €.
La vente en viager séduit de plus en plus de propriétaires rémois souhaitant valoriser leur patrimoine tout en améliorant leur qualité de vie.
Le viager est une vente définitive et le montant total perçu reste incertain (décès précoce = rentes plus faibles). Le logement ne pourra plus être transmis aux héritiers et le marché reste de niche, d’où l’importance d’un accompagnement de l’Etude Vetter Notaire pour fixer les clauses de revalorisation et sécuriser l’usufruit.
Une propriétaire de 78 ans a vendu son appartement près de la cathédrale de Reims en viager occupé. Elle a perçu 50 000 € de bouquet et 800 € de rente mensuelle, tout en conservant l’usufruit. Elle finance ainsi sa retraite et ses soins sans solliciter ses enfants.
Du côté de l’acquéreur, l’achat en viager est une opportunité d’investir différemment dans l’immobilier rémois. Il repose sur un principe simple : le paiement d’un capital initial puis d’une rente viagère étalée dans le temps.
Malgré ses atouts, le viager comporte aussi des risques pour l’acquéreur. La durée
de versement de la rente reste imprévisible et peut s’étaler sur plusieurs décennies. Dans un viager occupé, l’acquéreur ne pourra pas utiliser le bien avant le décès du vendeur, ce qui retarde la rentabilité de son investissement.
Autre contrainte : si l’acquéreur décède avant le vendeur, ses héritiers devront continuer à verser la rente, car il s’agit d’une dette transmissible.
Un couple de quarantenaires a acquis une maison de 120 m² en viager libre à Clairmarais. En versant 80 000 € de bouquet et 1 200 € de rente mensuelle ; ils en ont pris immédiatement possession, sans crédit immobilier classique.
Dans une vente en viager, le notaire est l’acteur clé qui garantit la sécurité juridique de l’opération. Son rôle commence en amont : il conseille les parties sur le choix entre viager occupé ou libre, le montant du bouquet, la rente et les incidences fiscales, notamment la part imposable des revenus.
Préalablement à la signature, il rédige l’acte authentique, lui conférant une force exécutoire essentielle en cas d’impayés. Le notaire veille également à insérer des garanties solides, comme une hypothèque ou un privilège de vendeur, pour protéger le crédirentier. Il précise les modalités pratiques (indexation de la rente, répartition des charges, clauses de résiliation) afin d’anticiper d’éventuels litiges. À Reims, l’Étude Vetter Notaire assure ainsi la transparence et l’équilibre entre vendeur et acquéreur.
Nous sommes à votre écoute pour vous apporter des conseils clairs et précis,
répondre à toutes vos interrogations juridiques et vous accompagner dans la concrétisation de vos projets notariaux.